Nom et/ou Prénom: Semehk Kemial
Age: 417 ans
Race: Fehort
Pouvoir/capactiés: -sans pouvoir : Semehk ne possède aucun pouvoir
-iaidoka: Semehk est passé maitre dans le iaido ou la voie de celui qui dégaine son sabre, grâce à cela il possède une capacité d'adaptation à la normal due à toutes les situation qu'il a affronté; habitué à se battre sans sortir son sabre, lorsqu'il sort celui ci c'est uniquement dans le but de tuer s'il est vraiment décidé à combattre. Il possède maitrise du sabre que l'on ne peut pas lui contester même si le chemin qui lui reste à parcourir sur la route de la perfection est encore long...
Armes: Une seule et unique arme, un sabre droit d’une longueur d’un mètre. Fait dans l’acier le plus pure, plié plus de mille fois, c’est un véritable chef d’œuvre de forgeron qui fut enchanté lors de sa création, un simple sort rendant l'arme particulièrement résistante et tranchante face aux autres armes. Cette lame appartenu autrefois au grand-père de Semehk qui la légua à son père qui lui-même la légua à son fils, Semehk.
Description physique: Lorsqu’elle le vit entrer dans la petite pièce cela ne fit aucun doute, malgré son apparence physique il était bien plus vieux que ce qu’il n’y paraissait, sa démarche régalienne ne pouvait qu’en attester. Il était à proprement parler fascinant. Ce n’était pas cette fascination pour quelque chose de séducteur, quelque chose d’excitant. Non, c’était la fascination pour la sagesse, pour la puissance. Il était plutôt grand, plus d’un mètre soixante quinze ; son long manteau sombre et cintré était finement orné, tout en discrétion et d’un gout exquis. Sa longue et soyeuse chevelure ocre aux reflets dorés ne faisait que mettre en valeur sa peau halée certes propre aux Fehorts mais aussi significative d’un voyage sans fin. Il était clair que son large pantalon de la même couleur était fait pour le laisser libre de ses mouvements. Son visage était fin et grave, signe d’un homme ayant vue beaucoup plus de choses que son âge apparent ne l’aurait laissé présager. Ses yeux aux couleurs de l’émeraude ne pouvaient que le confirmer, ils étaient calmes, posé et symbole d’une détermination sans faille ; ils étaient aussi sereins qu’un lac profond, mais il était clair que les courants du tourment tournoyaient sous ce repos apparent, ils étaient grave. Ses oreilles pointues étaient cachées par ses cheveux mais elle pu apercevoir à son oreille gauche trois anneaux d’acier brut d’une simplicité surprenante par rapport à la finesse de sa tenue.
Sans aucune pudeur il commença à se déshabiller, retirant son manteau il dévoila une chemise blanche et fine sans aucun ornement. Lorsqu’il eu retiré sa chemise elle pu découvrir un torse fin et musclé, sa peau halée était strié de plusieurs cicatrice à peine visible de par leur âge mais le plus impressionnant était le tatouage qui recouvrait son corps. En effet, un dragon à l’aspect de serpent parcourait tout son buste, s’enroulant en entrelacs hypnotiques. A son bras gauche on pouvait voir le symbole d’un sablier accroché à une chaine qui s’enroulait autour du bras pour remonter jusqu’à son épaule ; à son bras gauche il n’y avait pas de tatouage, juste une série de cicatrices parallèle symbole d’une punition auto-infligée ou d’un défi à ceux qui lui avaient fait face. Il retira alors son pantalon, dévoilant des jambes fines et musclées puis s’allongea sur la table de massage. Elle se plaça au dessus de lui et se mis à la masser, délassant les muscles d’acier d’un guerrier possédant une expérience que peu possédaient encore ; elle le savait car en tant que masseuse elle avait vue défiler nombre de guerrier et, le plus marquant par rapport à lui restait son attitude posée.
Description mentale :Qui suis-je ? Je suis un vieil homme fatigué par un monde et une guerre qui me semblent ne pas avoir de sens. Voilà des siècles que ces massacres perdurent, nous nous détruisons mutuellement ; peut-être autrefois étions-nous proches, mais cela ne m’apparaît plus possible. Pourquoi en suis-je si sur ? J’ai vue tellement de batailles, j’ai ressenti ce que l’on appel la haine pour les autres races ; j’ai ressenti cette haine lorsque j’ai vue mes amis mourir, mes hommes en train gésir dans le sang. Je connais la guerre, je suis d’ailleurs depuis longtemps passé maitre dans son art. Je défierais quiconque oserait me provoquer sur ce terrain, car je connais d’innombrables tactiques de guerre ; j’en ai moi-même créé et j’ai su me débarrasser du carcan des règles militaires, j’ai connu et apprécié l’aspect artistique de la guerre. Tel un ancien chef d’orchestre je serais encore capable d’accorder des hommes qui m’obéiraient avec brio, mais je ne veux plus jouer sur cette partition de sang et de carnages. Mais malgré toute cette amertume, je continue d’espérer qu’un jour ces batailles sans fin et sans aucun sens prendront fin.
Voilà bien longtemps que j’ai cessé de croire que la guerre pourrait apporter la paix, je connais trop bien cette vieille amie dont les souvenir m’accompagnent encore. Celle-ci m’a cependant grandement apportée malgré tout. La rigueur que se doit d’avoir un homme qui assume aussi bien ses réussite que ses erreur, le courage de faire un choix là ou l’on n’aimerait ne pas avoir à en faire, mais aussi une détermination sans faille. Cependant le prix pour tous ces enseignement est élevé, comment croire en l’amour et l’amitié lorsque la guerre vous ôte jusqu’à votre propre espoir et votre propre amour ? Comment croire en la justice lorsque l’on est obligé de sacrifier ses amis pour le bien du plus grand nombre ? Je n’ai jamais désiré aucune récompense, autrefois j’ai eu l’espoir de la paix mais à présent cet espoir a disparut. Je n’ai pas sombré dans le désespoir, pour cela il aurait fallut que l’espoir soit brisé en une seule fois…
Biographie. La guerre a toujours été une histoire de famille pour les Kemial, en effet tous les hommes de la famille ont tenus des postes de haut rang dans l’armée, finissant régulièrement au rang de chef des armées. Semehk apprit donc l’art de la guerre dès son enfance, apprenant à maitriser le sabre comme l’on joue sur une partition de musique ; car il était clair pour les Kemial que la guerre était un art, et que l’on devait par conséquence apprendre a jouer ses partitions mais aussi à les créer. Sa mère était une grande musicienne et lui enseignait le violon tandis que son père lui enseignait à faire la guerre. Le jeune garçon montra un talent pour les deux disciplines, pour lui jouer du violon ou faire la guerre était la même chose ; c’était l’expression de l’art au plus haut point, une méthode pour transcender l’existence. Il entra donc à l’âge réglementaire dans l’armée, rejoignant les troupes expéditionnaires pour être au plus près des batailles. Il gravit chaque échelon de l’armée par sa détermination et son talent, son père veillant non pas à ne pas intervenir mais à le ralentir. Pour eux cela était naturel, pour que Semehk atteigne son père il se devait de le vaincre. Ce fut âgé d’à peine soixante et un ans qu’il obtint le poste de général auquel son père renonça, il se vit remettre par ce dernier le sabre familial. Il se révéla au-delà de ce que tous espéraient être un stratège de talent, doué d’une maitrise du sabre que peu auraient pus se vanter d’avoir ; il était en plus de cela un musicien talentueux que les gens prenaient plaisir à écouter, et bénéficiait de la sympathie du peuple.
Semehk était donc le leader militaire parfait, il n’agissait jamais précipitamment et était capable de faire les meilleures décisions possibles pour remporter la victoire. Sa capacité à faire le bon choix pour limiter les pertes de ses troupes et les pertes civiles étaient particulièrement appréciés, mais le doute l’envahissait petit à petit. Ce fut vingt ans avant qu’il ne quitte son poste que les doute l’envahirent avec violence, il avait vu mourir la majorité de ses amis fidèles au cours de la guerre, les dernier survivant se comptant sur les doigts d’une main ; pire encore il s’était lié d’amour avec une Nerise. Pendant vingt ans l’indécision l’assailli, entre la fidélité à son peuple, le désir de pouvoir vivre avec celle qu’il aimait et le dégout pour la guerre qu’il éprouvait. L’élément qui déclenchât son départ fut la dernière bataille qu’il dirigea, en effet toujours fidèle à son titre ses décision n’étaient jamais influencées par ses doutes, le champ de bataille n’étant pas le lieu de telles interrogations. Dans la même bataille il vit mourir ses dernier véritable amis et du tuer lui-même celle qu’il avait aimé. Tous ceux qu’il aimait étaient morts et, l’ironie dans cela fut que le peuple acclamait ce héros dévoué. Il était alors âgé de trois-cent-seize ans et abandonna tout statut militaire suite à cette bataille. Il laissa le soin aux généraux de choisir son successeur et partit en quête de réponse à ses interrogations.
Voilà un siècle et une année qu’il erre sans avoir trouvé une quelconque réponse, seul avec pour unique amis un sabre qui servit à tuer celle qu’il avait aimée. Inconsciemment il s’était juré que s’il reprenait un jour la route de la guerre il ne se lierait plus avec personne pour ne pas avoir à de nouveau subir la souffrance de perdre une personne lui étant chère.
candidat au poste de chef des armées Feort
(si besoin est d'avoir une idée du niveau de roleplay:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mon personnage était celui de Kratos)
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