Samedi 26 février 2008...
Cher journal,cela fait un bail quue je ne t'ais pas écris alors voilà...
Cette plage ensolleillé où je me tient me rappelle tellement de souvenirs, heureux ou malheureux...Le vent qui soufle dans mes cheveux turquoises et les soulèvent aussi...Ce paysage merveilleux qui s'étend sur l'infini où se reflette le soleil couchant et où pointent les derniers rayons du soleil est un enchantement à mes yeux...Cette odeur salé et mystérieuse qui éveille mes narines n'est autre que l'odeur de l'océan.Le vent m'apporte ces odeurs.
J'eûme l'air frais et sâlé méditéranéen avant de me pencher sur mon journal et je me mets à gratter avec ma plume les pages jaunies de ce cahier.Les vagues qui s'écrasent sur la rive avec éléguance produisent un bruit mât avant de se retirer puis de revenir dans un manêge incessant.Lorsque le soleil commence à disparaitre dans un éléguant spectacle teintant le ciel d'une couleur pourpre je pose ma plume et mon journal.Je me déshabille derrière un rocher puis je m'approche de l'océan ,sur le sable humide mes traces de pas restent, s'incrustant dans le sol avant de disparaitre lorsque une vague vint s'échouer sur la rive.
Je jette un regard derrière moi,trempe mes pieds précautionnement dans l'eau qui me parait relativement tiède puis aspire une grande bouffée d'air et je plonge.
C'était comme avant,magnifique,les coraux avait pris des couleurs merveilleuses qui me ravirent les yeux lorsque je commencée à remonter à la surface je me rappella que je pouvais respirer dans l'eau alors je m'enfonça dans les profondeurs de l'océan,me réjouissant du spectacle que je voyais plus je m'enfoncais dans les abîmmes de cet univers.Devant moi s'offrait toutes sortes de poissons,de plantes et de senteurs...
*Comme c'est beau! Cela faisait ci longtemps que je n'étais pas venue ici!*
Et effectivemment cela faisait longtemps que je n'étais pas venue ici.Lorsque les Aluïs nous avaient attaqué ,moi et grand-mère avions fuits,chez des amis à grand-mère un peu plus loint et j'avais du me contenter de nager dans une petite mer du coin.Renoncant à retourner chez nous ou à la ville avant un bon bout de temps nous avions loué une petite cabane en mauvais état.Avec l'aide des amis de grand-mère nous avions réussi à la remmettre sur pieds puis nous nous y étions installées.
Maintenant, nous rentrions chez nous. Après tant d'années nous rentrions enfin chez nous!J'étais heureuse.La maison n'avait pas subit tros de dégâts mais grand-mère et moi devrions passer un bon bout de temps à nettoyer tous les recoins de la maison.
Je nageais toujours plus profondamment,puis, enfin ,je la vis,une ville engloutie sous l'océan telle une grosse bulle éternelle...Je mis dirigeais,impatiente...