Nom/prénom: Parwongs Essindra
Age: 59ans ce qui est censé faire 19 ans en âge normale.
Race: Xuhecort
Pouvoir/capacité: Lorsque je suis en colère ou que j’ai peur mes cheveux
« prennent »feu. Ou disons plutôt qu’ils se changent en flammes
dévastatrice. Bien heureusement, lorsque je me calme mes flammes
redeviennent de simples cheveux et ils ne sont pas le moins du
monde en cendre à part quelques mèches roussies (qui finissent par
disparaître) selon le temps que mes cheveux
restent en feu mais qui ne se voient à peine parmi mes cheveux
roux. Je ne peu pas maitriser cette capacité étant donné que l’on ne
peu pas maitriser ses humeurs, car même si l’on peu ne rien laisser
paraître au fond de nous l’humeur reste la même. Mes flammes ne
peuvent s’agrandir ou rétrécir, elles adoptent la forme de mes
cheveux et leur taille. Elles peuvent voler au vent comme de vrais
cheveux, etc… Je n’ai aucun bénéfice à tirer de se pouvoir à
par qu’il me protège lorsqu’un de mes assaillants essaye de
m’atteindre à la tête. Soit son arme fond soit il se brûle en asseyant
de m’assommer ou autre. Par contre mes flammes ne pourront rien
contre une balle de pistolet. Si le vent souffle ou qu’on souffle sur
mes flammes elles ne s’éteindront pas comme de vulgaires bougies.
Je peux aussi, en donnant un coup de tête, provoquer de grosses
cloques et des brûlures qui ne provoquent pas de dégâts important
chez mon adversaire. Ma peau est immunisée contre mes flammes
mais je ressens quand même la chaleur et plus je reste longtemps
avec les cheveux enflammés plus j’ai chaud. Lorsque des gouttes de
sueur commencent à perler, j’ai une affreuse migraine suivit par
des troubles de la vue et je m’évanouie. A mon réveil la migraine
reste encore plusieurs heures avant de disparaître.
Arme: Je possède une dague à double tranchant ornée d’un gros et
étincelant rubis sur son manche. Cette dague avait été offerte à la
grand-mère de mon arrière-grand-mère le jour de ses 10 ans de
mariages et lui avait été offerte par son mari. (pas très romantique,
hein ?)Malgré la difficulté à la manier, je réussi maintenant assez
bien à m’en servir et j’y tien. Elle est l’unique héritage de ma
défunte mère qui n’avait jamais été très tendre avec moi.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Description physique: Comme la plupart des miens je possède une chevelure d’un roux
flamboyant avec quelques reflets rouge encadrant un visage
poupin. Mes cheveux sont coupés assez court pour ne jamais entrer
en contact avec mes habits, car, peut-être que ma peau est
immunisée contre mes flammes, mais pas mes habits. J’ai de
magnifiques yeux d’un noir profond ourlés de longs et
épais cils noirs, un petit nez retroussé et des lèvres pulpeuses. J’ai
également un teint très pâle, rehaussé par de jolies pommettes
colorées. Il parait que malgré mon petit air boudeur et revêche j’ai
un charme très mystérieux. J’ai des formes très
avantageuses pour mon âge et je suis d’une souplesse peu
commune. Ma petite taille (1m 56) me permet de me mouvoir avec
facilité dans mon environnement. Je ne suis pas une guerrière et je
déteste me battre, mais si on m’attaque je sais me défendre et avec
une certaine efficacité, je vous l’accorde. J’ai aussi une certaine
manière de combattre, je ne vous en dit pas plus ça gâcherait la
surprise. Sinon, en style vestimentaire je porte la plupart du temps
un haut gris très léger et pratique ainsi qu’un short. Pour les
baisses de températures j’enfile une veste en cuir rouge et je
m’emmitoufle dans ma cape. J’ai aussi un bandeau constamment
attaché au tour du cou qui me serre à bander mes yeux et ainsi à la
protéger de la lumière du soleil.
Description mentale: Je suis une dure à cuire, comme le disent souvent les gens autour de
moi. J’ai un caractère de cochon que je dois à mon père ainsi
qu’une bravoure et un courage que je tiens de ma mère. Je suis
également d’une impertinence sans égale. Je me crois au dessus des
autres et déteste qu’on me donne des ordres. J’aime mener ma vie
seule en solitaire et déteste être enfermée dans un endroit clos, enfin
c’est un peu normal parce que je suis claustrophobe. Ce n'est d'ailleurs pas très pratique pour
quelqun comme moi, qui suis une xuhecort et qui est très sensible au soleil.
Biographie: Souvenirs d’enfance…Un frottement de tissu, un claquement et des voix. Une porte qui grince et une petite voix cristalline qui s’élève dans le silence qui vient de s’installer :
-Maman, tu vas où ? Pourquoi tu as une valise à la main ?
-Quelque part ! Et sa ne te regarde pas !
La voix avait claquée dure et sèche comme un fouet qui claque.
-Mais...
-Il n’y a pas de mais. Maintenant retourne te coucher et laisse moi tranquille !
Et maintenant, elle s’en allait, sa mère…Essindra en était sûr, elle ne reverrait plus jamais sa mère…Mme Parwongs n’avait jamais aimé sa fille et Essindra le savait. Elle avait toujours tout fait pour qu’un jour sa mère est enfin un peu d’affection pour elle. Mais en vain, lorsque elle s’adresser à elle, c’était pour l’injurier et la punir. Essindra n’avait jamais su pourquoi sa mère s’acharner tant sur elle et elle ne le saurait jamais…Ou peut-être que c’était à cause du fait qu’elle était claustrophobe et que du coup ses parents et elles avaient emménagés hors de la terre. Sa mère adoraient être sous la terre, aussi passait-elle ses journées là-bas.
Soudain une deuxième voix, plus grave cette fois, s’élève dans la pièce et vient rompre les pensées d’Essindra.
-Voyons Lélé…
-Ne m’appelle pas comme ça Jorien !
-Euh…Oui…Pardon…Je voulais dire Lélinda…Tu…Tu ne vas
pas partir hein ?
-Et pourquoi pas ! Et puis je ne…
Encore une dispute…Toujours des disputes…Mais cette fois ci, à la fin de la dispute, Lélinda s’en irait…C’était sûr, elle avait même déjà préparé sa valise. Essindra retourna se coucher, un gros poids sur le ventre.
*Ah ! Que c’était tellement mieux avant…*
Avant…Avant Essindra vivait chez sa grand-mère et son grand-père. Elle s’amusait tellement bien là-bas…Mais c’était fini…Sa grand-mère était morte et, rongé par la tristesse, son grand-père aussi…
Un papillon géant se dresse devant elle et se change en souris puis un gros crocodile surgis de la terre, suivit par des lions, leur crinière de feu lèche le visage d’Essindra. Apeurée elle recule puis tombe, tombe, tombe, tombe dans un vide, profond et noir. Soudain, elle entend un cri et se réveille en sursaut.
*Ouf, se n’était qu’un rêve*
Se levant, elle regarde par la fenêtre en se demandant quel était le cri qui l’avait fait se réveiller et retient un cri d’effrois… Sa mère se tient là, agonisant, une flèche enfoncée entre les deux yeux. Elle descend les escaliers à la vitesse de l’éclair et, arrivée devant sa mère, elle regarde la flèche. La flèche était plantée de travers et Essindra regarda dans la direction où le criminel devait se tenir vu l’emplacement de la flèche. Aussitôt, elle aperçoit une silhouette mince qui s’enfuit en courant avec une souplesse féline, sautant d’arbres en arbres, passant sur ou sous les barrières…La silhouette finit par disparaitre au loin. Il faisait nuit et Essindra n’avait aucune chance de la rattraper. Elle se tourne vers sa mère, morte, elle arracha une feuille de papier de son carnet qu’elle avait dans sa poche et, avec un stylo elle écrit : Mme Parwongs, assassinée dans la nuit du 04 au 05 mai. Elle n’en dit pas plus, après tout, sa « mère », si on pouvait l’appeler ainsi, n’avait jamais éprouvée la moindre affection pour Essindra. Elle posa la feuille sur sa mère puis elle partit s’en aucun but précis. Elle ne voulait pas venger sa mère, elle voulait partir. Elle ne voulait pas passer une seconde de plus dans cette maison qui lui rappelait tant de mauvais souvenirs. Elle s’en allait, elle commençait son aventure…
Si vous avez un animal: Non
Petit plus: comment avez-vous connu Azeviel: Grâce à Edefia